Il peut être difficile de planifier
Planifier et penser à l’avenir peut se révéler complexe en tout temps. Parler de l’avenir lorsqu’on a un trouble neurocognitif peut être encore plus compliqué.
Parlez à la personne ayant un trouble neurocognitif de ses désirs pour l’avenir
Commencez la conversation à propos de ses désirs pour l’avenir dans un cadre familier, peut-être autour de la table de la cuisine, ou lors d’une balade. Cela peut diminuer la pression. Parlez de choses comme :
- Qu’est-ce qui donne un sens à la vie?
- Quelles sont vos valeurs et vos croyances?
- Quelles sont vos craintes?
- Qu’est-ce que vous NE voulez PAS?
- Ou, cliquez ici pour d’autres aides à la conversation.
Si la personne ayant un trouble neurocognitif trouve ces questions difficiles, essayez de lui demander de nommer une seule personne à laquelle elle fait confiance, qui pourrait parler en son nom au cas où elle serait incapable de le faire. Il peut s’agir de quelqu’un sur qui la personne ayant un trouble neurocognitif peut compter pour partager son point de vue.
- Vous trouverez d’autres recommandations pour « parler des troubles neurocognitifs » ici.
Vous trouverez ci-dessous une vidéo de Planification préalable des soins Canada qui relate l’expérience de certaines personnes qui ont parlé de leurs désirs à venir en lien avec divers problèmes de santé.
- Bien que cette vidéo soit en anglais, vous pouvez cliquer sur « Regarder sur Youtube » pour la voir avec un sous-titrage dans la langue de votre choix. Tout d’abord, sélectionnez le bouton Paramètre (qui ressemble à une roue dentée), puis sur « Sous-titres », puis sur « Français, généré automatiquement ». Des sous-titres s’afficheront ensuite automatiquement sur l’écran durant la vidéo.
Lorsque vous-même, ou quelqu’un d’autre, avez parlé des désirs de la personne ayant un trouble neurocognitif, l’étape suivante est de s’assurer que ses désirs sont mis par écrit.
En ayant les bons documents, vous pouvez partager les points de vue et les croyances de la personne dont vous prenez soin avec d’autres personnes, y compris les fournisseurs de services de santé ou de services sociaux.
Amorcez des conversations concernant vos désirs pour l’avenir
Commencez la conversation avec la personne ayant un trouble neurocognitif dans un cadre familier, peut-être autour de la table de la cuisine, ou lors d’une balade. Cela peut diminuer la pression qu’elle pourrait ressentir.
Commencez par des questions, telles que :
- Qu’est-ce qui donne un sens à la vie?
- Quelles sont vos valeurs et vos croyances?
- Quelles sont vos craintes?