Plusieurs facteurs jouent un rôle
Les membres de la famille des personnes ayant un trouble neurocognitif craignent souvent que les troubles neurocognitifs soient héréditaires; en d’autres termes, que leurs enfants ou leurs petits-enfants risquent plus d’en être atteints.
Si votre père ou votre mère souffre d’un trouble neurocognitif, vous risquez plus d’en souffrir aussi par rapport à une personne dont aucun membre de la famille n’en est atteint. On ne sait toujours pas précisément ce qui fait qu’un trouble neurocognitif se transmet d’une génération à l’autre.
À l’heure actuelle, les scientifiques disent que la génétique, les facteurs environnementaux et le mode de vie pourraient tous jouer un rôle.
Dans la majorité des cas, les troubles neurocognitifs n’ont rien à voir avec la famille. Il y a des formes génétiques de troubles neurocognitifs, mais elles sont extrêmement rares (environ 1 % de toutes les personnes atteintes d’un trouble neurocognitif). Les personnes atteintes de ces formes génétiques ont tendance à souffrir d’un trouble neurocognitif à un plus jeune âge (avant l’âge de 65 ans).
Les troubles neurocognitifs peuvent toucher tout le monde, même les personnes sans antécédents familiaux.
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